À propos de l'approximation de l'optique géométrique

[Cassegrain]

Bonsoir tout le monde , j'espère que vous allez super bien

j’essaye de répondre à la question suivante :

La question ----> Définir l'approximation de l'optique géométrique.

Après m'être référé à un certain nombre de cours d'optique géométrique, où je n'ai pas trouvé une définition précise de cette approximation, j'ai formulé cette réponse :

Ma réponse ----> L'approximation de l'optique géométrique consiste à considérer que la lumière issue d'une source se propage en ligne droite dans un milieu homogène et transparent, et est valable lorsque la longueur d’onde de la lumière est petite devant les dimensions des obstacles et ouvertures qu’elle rencontre.

À votre avis, est-ce que cette réponse répond-elle bien à la question susmentionnée?

[lenym]

Comme ce sont des concepts que je n'enseigne pas, j'oublie vite

J'ai trouvé ce site assez bien détaillé sur la thématique:

https://www.physagreg.fr/optique-11-loi ... trique.php

Bon courage

(conseil: derrière chaque concept avoir un exemple pour étayer)

[Cassegrain]

Comme ce sont des concepts que je n'enseigne pas, j'oublie vite

J'ai trouvé ce site assez bien détaillé sur la thématique:

https://www.physagreg.fr/optique-11-loi ... trique.php

Bon courage

(conseil: derrière chaque concept avoir un exemple pour étayer)

Merci pour le lien partagé !

[BorisL]

Je rebondis très tardivement. Pour ma part, je dirais que l'optique géométrique se place aussi (surtout ?) dans une approximation scalaire de la lumière, en lien avec la notion de rayon lumineux. Du coup elle ignore le caractère vectoriel de la lumière, et donc la notion de polarisation.

[nash06]

Je rebondis très tardivement. Pour ma part, je dirais que l'optique géométrique se place aussi (surtout ?) dans une approximation scalaire de la lumière, en lien avec la notion de rayon lumineux. Du coup elle ignore le caractère vectoriel de la lumière, et donc la notion de polarisation.

Certes, mais ce n'est pas ce qui définit l'optique géométrique. En optique ondulatoire aussi, on adopte souvent un modèle scalaire pour la lumière, en négligeant la polarisation.